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Les agents de police effectuaient encore des missions de proximité dans les années 70, assurant la sécurité des enfants à la sortie de chaque école. – VDN
La photo date de 1974. Les policiers avaient encore comme mission de fluidifier la circulation aux différents carrefours chauds de la ville comme ici au carrefour Mollien-Descartes. – VDN
Ce cliché date du 24 juillet 1959, la veille de la commémoration du cinquantenaire de la traversée de la Manche par Louis Blériot. Quelques curieux entouraient le SR-N1, cet aéroglisseur qui évoluait sur la plage. – VDN
Le SR-N1 dans le port de Calais sur l’ HMS Warden, un bâtiment porte-char de la Royal Navy. – VDN
Déséquilibré, l’avion percutait le trottoir s’arrêtant juste devant le monument du Sauveteur et s’enflammait. – VDN
Un autre avion avait défrayé la chronique. Ce Gotha allemand, qui bombardait Calais le 25 janvier 1918, était touché par l’escadrille 313, basée à Blériot. Il atterrissait en urgence sur la plage de Zuydcoote. Le Gotha était ramené pour être exposé face au jardin Richelieu.
Le 8 mai 1949, le général Dumas, commandant la division militaire de Lille, épinglait la Croix de guerre 1939-1945, avec palme, sur un coussin de velours bleu tenu par Gaston Berthe, maire de la ville. – VDN
Ces trois décorations sont exposées dans le hall d’entrée de l’hôtel de ville.
La marie-salope désigne un chaland muni de godets destiné à dégager les chenaux des boues et sable l’obstruant. Ici le « Courgain ».
La marie-salope désigne un chaland muni de godets destiné à dégager les chenaux des boues et sable l’obstruant
Avant-guerre, la rue Eustache-Saint-Pierre s’étendait de la rue Notre-Dame à la rue de Thermes, prolongée jusqu’au boulevard des Alliés par la rue Courtenveau. – VDN
La maison fut rebâtie par Maître Leroy, notaire, et la plaque à nouveau scellée, avant que la maison ne soit anéantie en 1940 par les bombardements allemands. – VDN
La rue Royale d’avant-guerre avait des trottoirs si étroits que les piétons empruntaient couramment la chaussée. - VDN
Cette place se nommait la place Richelieu, puis place du Maréchal-Foch en 1929. – VDN
Le roi d’Angleterre George V a été reçu à l’hôtel de ville de Calais. Il est ici à gauche sur le balcon, le maire Charles Morieux à sa droite. – VDN
L’ancien hôtel de ville accueillait le magasin de ravitaillement de la ville. – VDN
C’est probablement la cigarette d’un spectateur qui est à l’origine du feu. – VDN
Ce sera le dernier envol de montgolfière depuis la place Crèvecœur. - VDN
La vue prise de l’immeuble Gavet permet de voir le front de mer tel qu’il était avant les travaux d’urbanisation avec l’ancienne avenue Raymond-Poincaré et les dunes rasées en 1965. – VDN
Le voilier quittait Calais le 26 septembre 1962. Le voici dans le chenal toutes voiles dehors. - VDN
Certains timoniers confondaient l’entrée des jetées et s’échouaient entre le fort Rouge et la jetée Ouest
À marée haute, ci-dessous, sa plate-forme de 55 mètres de long sur 19 mètres de large s’élevait à 5 mètres au-dessus des flots. À partir de 1857, il fut affecté au service des phares mais causa plusieurs naufrages
Une vue des jardins Richelieu en 1956. – VDN
Le parc Richelieu ici, en 1904. – VDN
Cette photo fait partie d’un passé révolu dans la mesure où le bassin Ouest n’accueille plus de gros navires.
Avant-guerre, contourner le bassin en automobile n’était pas possible. Il fallait prendre son mal en patience.
Cette photo prise de l’hôtel de ville montre où en était la reconstruction de Calais-Nord en 1956. – VDN
Ces maisons et immeubles d’avant-guerre, trop proches des zones de combat, ne seront pas épargnés lors des bombardements intensifs dirigés vers la citadelle, la gare et le bassin de la Marne. – VDN
Presque chaque rue avait son salon de coiffure avant-guerre.
Créé en 1956, un salon de coiffure pour hommes plus moderne, celui de Paul Levray au nº57, boulevard de l’Égalité, avec des sièges baquet et des lavabos de marbre
On se souvient de ce petit chalet de couleur brun-rougeâtre qui se situait vers le n°120 du boulevard de l’Égalité, entre les maisons. – VDN
Les chaussures à réparer étaient nombreuses et le travail se faisait sans machines, avec ce pied de fer. M. Lemoine fils secondait son père après la libération, apprit le métier et prit la succession. – VDN
Le 26 septembre 1944, l’église Notre-Dame s’effondrait, touchée par un largage de bombes de l’aviation britannique. – VDN
Les cloches gisent toujours sur la photo ci-contre, datant d’après 1953 si l’on se réfère au graffiti sur la colonne : « Toi et Moi 15/7/53 ». – VDN
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