• Voici une des salles du musée située au premier étage : y était suspendue la nacelle de l’aéronaute français Jean-Pierre Blanchard et de l’américain John Jeffries qui, les premiers, avaient traversé la Manche en ballon le 7 janvier 1785. – VDN

    Dans cette crypte ouverte au public, des collections étaient exposées : sarcophage en pierre, dalles gravées, et bien d’autres objets. – VDN

    Les photos montrant la fête foraine place d’Armes avant-guerre sont rares. En voici une prise en 1929 par Paul Villy.

    La foire d’été était installée place d’Armes, en 1977 avec l’attraction vedette le Duel spatial

    Sur ce quai l’atmosphère était conviviale. La famille, souvent composée de nombreux enfants, les y attendait. – VDN

    Les marins mangeaient sur le quai parmi les cargaisons de barils d’huile en attente de transport. - VDN

    Cette photo a été prise d’une fenêtre du Grand hôtel, juste avant la Première Guerre mondiale. – VDN

    Il y avait même des embouteillages dans l’entre-deux guerre, ce qui contraste avec le bassin déserté de nos jours. – VDN

    Les Couguinois étaient toujours prêts à poser devant le photographe.

    On pouvait se serrer la main en tendant le bras de part et d’autre de la rue ! – VDN

    Voici un des stands présentés, le palais de la mode parisienne avec cette Ford T4 sur la gauche et ces mannequins habillés à la dernière mode dans un décor d’immeubles Haussmann. – VDN

    Le grand palais avec la tribune d’honneur où un orchestre donnait une aubade, et à sur la droite le pavillon Parenty de dégustation de vin. – VDN

    La Miss élégance 1956 posait sur un scooter Lambretta devant le magasin de cycles Brame boulevard Lafayette. – VDN

    À Calais, les défilés de Lambretta perdureront jusqu’aux années 1960. Quant aux rassemblements des « Vespistes », ici en 1969, ils restent une tradition en France. – VDN

    Voici les malades dans l’une des salles. Les lits y étaient nombreux, sans paravents, une promiscuité qui heurterait à notre époque. – VDN

    Une vue de l’hôpital : à gauche le pavillon Calmette, à droite le pavillon Roux, au centre la cuisine. – VDN

    La première centenaire calaisienne de l’après-guerre, M me veuve Sophie Roussel, était née le 29 décembre 1848 à Calais-Nord, rue de la Cloche. – VDN

    Le jour de son centième anniversaire, le maire Gaston Berthe était allé chercher Sophie Roussel pour assister à une messe anniversaire qui se déroulait à l’église Saint-Pierre. – VDN

    Les femmes de marins, en plus des tâches ménagères, participaient à améliorer les revenus de la pêche. – VDN

    Cette Courguinoise, photographiée par Paul Villy sur les quais du bassin Carnot, portait son rousset sur l’épaule, pieds nus sur les pavés. – VDN

    Les fêtes du Courgain-maritime étaient un événement majeur dans la vie des Courguinois en particulier en cette année 1908 qui accueillait l’exposition internationale en centre-ville face au parc Saint-Pierre. – VDN

    Les candidates au titre de l’année 1907-1908 étaient vêtues de l’habit traditionnel des Courguinoises. Sur la droite, le monsieur en costume et chapeau haut de forme n’est autre que Léon Vincent, initiateur de ces fêtes. – VDN

    Le choix d’une base à l’extrême nord était surprenant.

    À l’époque, rien de secret : la base était visible de tous. – VDN

    Voilà à quoi ressemblait le front de mer durant l’été 1968 : dunes rasées, nouvelles rues tracées. – VDN

    La maquette présentée était séduisante : casino, hôtels, 450 appartements, 192 villas, piscine de mer, centre commercial, école, digue-promenade surélevée, bassin des Chasses aménagé, centre équestre. – VDN

    L’enseigne Au Planteur de Caïffa, rue des Maréchaux, était la référence à Calais-Nord. – VDN

    Certains livreurs possédaient même un chien pour les aider à tirer leur charrette à bras. - VDN

    Les manèges prenaient leurs quartiers juste devant la bourse du travail. – VDN

    Avant, la fête foraine avait lieu place Crèvecœur.

    Émile Salambier, est, avec Léon Vincent, le seul maire à avoir un buste érigé sur une place calaisienne. – VDN

    Émile Salembier est réélu en 1908, une élection fêtée par une foule d’amis devant son domicile, rue Delaroche. – VDN

    L’atelier était situé rue des Moulins, devenue ensuite rue Jean-Jaurès. – VDN

    Charles Morieux, après l’aventure des bicyclettes, allait devenir maire de Calais. – VDN

    L’armature de la piscine s’est effondrée le 18 novembre 1961. – VDN

    Après les travaux, la piscine fut inaugurée en 1963. – VDN

    En juin 2001, spectacle insolite, des plagistes étaient contraints d’escalader des tranchées pour profiter de leur chalet. – VDN

    Le sous-sol du poste de secours inondé en septembre 2003 était l’événement déclencheur d’un retour à la raison. En mai 2004, la Ville réengraissait la plage. – VDN

    On ne pouvait plus circuler rue Royale... – VDN

    Un chasse-neige à Calais : une image rarissime… – VDN

    À la fin des années 1940, une gare provisoire a été construite, à l’image des gares centrales et maritimes, provisoires elles aussi. – VDN

    Une nouvelle gare des Fontinettes, la troisième, a été construite au début des années 1960. - VDN

    En 1964, le cinéaste Henri Verneuil tourna dans la région de Dunkerque le film Week-end à Zuydcoote. Ses assistants avaient signalé au réalisateur l’église Notre-Dame de Calais, toujours en ruine à l’époque.

    Georges Géret (Pinot) convainc Jean-Paul Belmondo (Maillat) de le suivre dans l’église Notre-Dame bombardée.

    Avant-guerre, le beffroi du musée surplombait la place d’Armes.

    La photo avait été prise de l’intérieur du beffroi.

    La photo date des premiers mois de la construction de l’hôtel de ville, alors que le bâtiment principal prenait forme. – VDN

    Les Calaisiens avaient surnommé la future place de l’hôtel de ville « la plaine du Sahara ». Ici, une vente de chevaux y était organisée. - VDN

    La Porte de Guise, avant sa destruction. – VDN

    Calais-Nord a été complètement détruit pendant la Seconde Guerre mondiale. – VDN

    La première gare avait été construite face au bassin du Paradis. – VDN

    La gare a été détruite par un ouragan. – VDN

    Cette carte postale date de la fin des années 1918. – VDN

    Une torpille heurtait une corniche du beffroi.

     

     

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